Selon la revue scientifique "Des animaux pour la science", une équipe de chercheurs dirigée par le Savant Frédéric Mondant, de l’Agence de la Pharmachimie, vient de contrôler la moustache d’un "Tchratz" avec une seule cellule nerveuse.

- Un rat au courrant !
Tout d’abord, rappellons que les "Tchratz" sont des rats aussi gros que des chats qui pullulent dans les sous-sols de l’Europole depuis quelques temps. Nuisibles, voire dangereux pour l’homme, l’Agence de la Pharmachimie a lancé depuis plusieurs semaines une vaste campagne de dératisation à l’échelle de secteurs entiers. Mais voila, non content d’être gigantesques, ces "Tchratz" se révèlent extrêmement résistants à tout produit chimique.
C’est en cherchant les spécificités de cette nouvelle espèce que l’équipe de l’agent-professeur Frédéric Mondant ont réussit l’exploit sus-nommé.
Selon eux, contrôler les mouvements de poils de ces rongeurs peut paraître futile, mais ce travail pourrait aider les chercheurs à mieux comprendre le mouvement physique dans l’espoir de le restaurer chez certains malades humains, selon la revue.

- Bras humains de l’Agence de la Pharmachimie.
- Les chercheurs feront leurs premières expériences sur les bras d’administrés ayant fait don de leurs corps à la science.
Cet exploit a été rendu possible en utilisant l’une des nombreuses théories obtenus suite au Contact : à l’aide d’un mini-courant électrique (5 nano-ampères) et d’une minuscule électrode, il est possible de stimuler de simples neurones dans le cortex moteur des animaux. Ce qui constitue un progrès technique car jusque là, selon "Des animaux pour la science", les tentatives se bornaient à stimuler des groupes de cellules nerveuses. Un poil est doté d’un petit muscle, dit "horripilateur" chez l’humain. Quand le muscle se contracte, le poil bouge, se redresse (effet chair de poule chez l’humain).
Ces résultats pourraient aider ceux qui travaillent à développer des interfaces cerveau-machines transformant les "pensées" en mouvements contrôlés.